Epigraphe
Franz Kafka : “Je ne sais pas si je suis début ou fin”.
Leonor Fini : “Les tableaux sont des images porte-parole. Ils racontent les chemins suivis, les chemins dérobés. Il n’y a rien à ajouter. Il n’y a aucune allégorie, mais, plutôt, une insoumission à l’allégorie”.
Epigraphe que le narrateur a préférée au traditionnel avertissement : “Toute ressemblance avec des personnes vivantes ou ayant réellement existé serait purement fortuite”.
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